D'ordinaire: juillet 2010

Vague de chaleur (01)

On peut malheureusement pas décider de la température qu'il fera quand on part en roadtrip. Après le soleil radieux du matin à Montréal, la pluie suivi d'une méga vague de chaleur au Connecticut nous a fouttée solide. Rien pour arrêter des crinqués!

Golden Hour

Le "Golden Hour" au Pipe c'est magique, en skate ou après une averse, quand tout le monde s'est réfugié dans le tunnel et que la session se change en 5 à 7! C'est probablement le dernier été pour savourer ce moment charismatique alors apprécions chaque coucher de soleil.

Les chemins de travers (05)

Pas toujours besoin d'aller loin pour trouver un chemin de travers trippant, juste à passer dans Hochelaga, à deux pas du Pipe!

Dans le jardin (06)

Première récolte!!! Dans quelques jours elles seront juste à point et j'ai hâte de gouter.

Pimp ma cloture

Marty nous a gossé ces supports à bières pour pimper la cloture!

Les chemins de travers (04)

Pendant les vacances qui débutent aujourd'hui, je me souhaites beaucoup de chemins de travers comme celui-ci et des routes tranquilles à rouler au gré du vent!

Reflet

Enjoyer une petite frette après un nouveau truc c'est tellement meilleur, hein Jean-Mich!

Rêverie

Avec les vacances qui arrivent, je rêve à des routes et des cols formidables. Cette photo, prise en Virginie, exprime bien l'état de rêverie qui m'habite.

Voguer en ville

Quelle bonne façon de terminer une soirée d'anniversaire que d'aller faire une virée en pédalo dans le Vieux-Port! Comme de vrais touristes, nous sommes partis à l'aventure en contemplant le centre-ville au coucher du soleil! Bonne fête encore Ju!

L'appel du bois

L'appel du bois est fort le week-end et le bien-être de se retrouver en forêt est imbattable et surtout instantané!

Dimanche au Pipe (96)

Vous vous dites "Kes cé ça?!" Ben c'est un Shove-it to mute fakie. Justin est un chat, souvent ses pieds décollent de son board et reviennent magiquement se replacer avant de lander. Ça fait pas toujours des photos crédibles, mais faut l'woir pour le croire.